les fondateurs
Organisme agréé par le Ministère chargé des collectivités territoriales pour la formation des élus, Gestions Locales est un cabinet pluridisciplinaire créé en 1989 par Jean-Pierre Muret, auteur de nombreux ouvrages destinés aux élu.e.s. Animé par Pascal Nicolle, nous réalisons des missions de conseil et de l’édition de contenus innovants auprès des décideurs publics. Composé d’une trentaine de consultant.e.s expérimenté.e.s dans leur domaine, nos équipes ont réalisé plus d’une centaine de prestations pour des milliers d’élu. e.s. L’une des raisons d’être depuis 1989 de notre cabinet est de se déplacer sur le terrain et de sortir du « tout à Paris » ! Chaque région possède son/sa référent.e, ancien. e élu.e, responsable de cabinet ou de direction d’une ou de collectivité(s) de son secteur.
Nous faisons le pari de la formation comme moyen de progression, d’émancipation et d’affirmation des élu.e.s.
L’Association Laïcité et République a été créée en 2003 par un collectif de citoyens élus et non élus pour promouvoir les valeurs de la République et en particulier la Laïcité. Depuis sa création, nous avons développé une conception de la formation des élus, toujours en présentiel, afin qu’elles soient à leur place dans l’édifice constitutionnel de la République.
Parmi les événements que nous organisons, citons la journée de la Laïcité où nous célébrons l’anniversaire de la séparation des Églises et de l’Etat, le Prix littéraire Jean ZAY qui couronne un livre illustrant les valeurs de la Laïcité et de la République ou encore des actions ponctuelles liées à l’actualité lorsqu’est remis en cause le droit d’expression, le suffrage universel libre et le respect des principes démocratiques, la liberté de la presse ou encore l’autonomie du pouvoir judiciaire.
Organisme de formation associatif créé en 1997, Formation et Citoyenneté s’inscrit dans la Charte de REAL (Rencontre des Élus et des Acteurs Locaux), en tenant compte de la pluralité des personnes se réclamant des mouvances progressistes, citoyennes et écologistes.
L’exigence d’une pratique démocratique, d’initiative, d’efficacité et de responsabilité notamment dans les cadres institutionnels, professionnels, populaires, associatifs nécessitant une profonde rénovation, la prise en compte de la nécessité de développer une économie sociale tout à la fois prospective et réaliste à partir des possibilités du moment, la recherche des coopérations solidaires tant au niveau, local, régional, national, européen que mondial et la collaboration avec des structures associatives, des syndicats, des revues et d’autres organismes de formation œuvrant dans le même sens.